À 75 ans, Alain Afflelou s’est confié sans détour sur sa vie de retraité. Ce qu’il révèle sur le montant de sa pension – et la façon dont il en parle – a de quoi surprendre… voire choquer. Découvrez pourquoi ses propos ne passent pas inaperçus.
Une révélation qui surprend
Invité fin 2023 sur le plateau de l’émission « Chez Jordan » (C8), Alain Afflelou a livré une confidence inattendue sur sa situation de retraité. À 75 ans, l’opticien emblématique s’est exprimé sans détour sur le montant de sa pension… et le regard qu’il porte sur sa nouvelle vie.
Loin des discours habituels, celui qui a bâti un empire dans l’optique depuis les années 1970 a tenu des propos pour le moins déconcertants.
Face à la caméra, il évoque ouvertement ses revenus à la retraite et affirme vivre cette période « difficilement », malgré une pension que beaucoup jugeraient très confortable. Une déclaration qui a rapidement attiré l’attention… et divisé l’opinion.
Alors, que touche vraiment Alain Afflelou ? Et pourquoi ces propos ont-ils autant fait réagir ? Réponse dans les lignes qui suivent.
Quel montant de retraite touche vraiment Alain Afflelou ?
Lors de son interview sur C8, Alain Afflelou a révélé percevoir une retraite mensuelle de 5 600 €. Un montant qui correspond à l’ensemble des montants de retraite (de base + complémentaires), après une carrière complète et des cotisations élevées.
Cette somme, bien supérieure à la moyenne des retraités français – qui s’élève à environ 1 550 € par mois – peut paraître confortable, voire enviable, pour une majorité de la population.
Elle reflète le parcours d’un homme qui a dirigé pendant des décennies une entreprise florissante, connue dans toute la France.
Mais malgré ce niveau élevé, l’entrepreneur a surpris en affirmant qu’il lui était « difficile de vivre avec cette somme« , compte tenu du train de vie auquel il s’est habitué pendant sa carrière.
Des propos qui ont provoqué l’incompréhension d’une partie du public… et lancé un débat bien plus large.
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Pourquoi parle-t-il d’une retraite “difficile” ?
Interrogé sur sa situation, Alain Afflelou n’a pas mâché ses mots : malgré une pension de 5 600 € par mois, il estime qu’il est « difficile de vivre avec cette somme ».
Une déclaration qui peut surprendre, mais qu’il justifie par son niveau de vie élevé et les habitudes prises après des décennies de réussite entrepreneuriale.
L’homme d’affaires précise toutefois qu’il ne se plaint pas :
« Dieu merci, je n’ai pas attendu la retraite pour vivre. »
Pour lui, la difficulté ne réside pas dans la précarité, mais dans le changement brutal de rythme et de revenus lorsqu’on passe d’un statut de chef d’entreprise à celui de retraité, même aisé.
Son propos soulève en filigrane une question plus large : quand on a toujours vécu dans l’abondance, même une retraite maximale peut sembler contraignante.
Une sortie qui n’a pas manqué de faire réagir, tant sur les réseaux sociaux que dans les médias. Car si le message peut sembler sincère, beaucoup y ont vu un manque de lucidité face à la réalité économique vécue par des millions de Français.
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Des propos qui divisent l’opinion
La déclaration d’Alain Afflelou n’a pas laissé les Français indifférents. Pour beaucoup, entendre un multimillionnaire parler de « difficulté » avec 5 600 € de retraite par mois a de quoi choquer, surtout dans un pays où des millions de retraités vivent avec moins de 1 500 €.
Sur les réseaux sociaux, les réactions ont été vives. Certains dénoncent un discours déconnecté, rappelant que des retraités peinent à se loger, à se chauffer ou à se soigner correctement avec des pensions bien plus modestes.
D’autres soulignent qu’Afflelou a certes cotisé à un haut niveau, mais qu’il bénéficie surtout d’un patrimoine conséquent qui le met à l’abri du besoin.
D’un autre côté, quelques voix nuancent le débat. Elles rappellent qu’il est légitime de trouver le passage à la retraite inconfortable, même pour un ancien chef d’entreprise, lorsque le train de vie antérieur était très élevé. En somme, la sortie d’Afflelou a ouvert une brèche entre perception individuelle du confort… et réalité sociale.
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