Gagner plus de 9 000 € par mois… tout en travaillant seulement 6 mois par an.
Cela paraît impossible, et pourtant c’est exactement ce que raconte une jeune femme devenue virale sur les réseaux sociaux.
Son métier, tout le monde pense le connaître… mais personne n’imagine qu’il puisse être aussi bien payé.
Un travail physique, exigeant, souvent méprisé, mais qui offre des salaires que beaucoup ne verraient même pas dans une carrière classique.
Dans un contexte où de plus en plus de Français cherchent un emploi bien rémunéré, une reconversion rapide ou un travail sans diplôme capable de changer leur vie, son témoignage intrigue :
Comment est-elle arrivée à gagner autant ? Est-ce vraiment possible ? Et surtout… quel est ce métier que personne ne veut faire mais qui paye une fortune ?
Voici la vérité derrière cette histoire qui secoue le web — et ce que révèle réellement ce job étonnant.
Une histoire incroyable qui intrigue tout le monde (1/3)
Derrière cette histoire virale, il y a une vraie personne : Ashlea, une jeune Australienne d’une vingtaine d’années originaire de Perth.
Son témoignage a explosé sur TikTok et dans la presse locale, car elle affirme gagner plus de 9 000 € par mois… pour seulement 22 semaines de travail par an, soit environ 6 mois.
Les médias australiens qui l’ont interviewée (News.com.au, PerthNow, 7News) confirment qu’elle travaille dans un secteur où les salaires élevés et les horaires extrêmes cohabitent : un milieu où la demande de main-d’œuvre est telle que même les postes “détestés” ou physiquement difficiles sont très bien payés.
Dans ses vidéos, Ashlea raconte son quotidien sans filtre :
– réveil à 4 h du matin,
– journées de 12 heures,
– chaleur écrasante,
– solitude,
– déplacements en avion vers son lieu de travail isolé,
– mais un revenu qui dépasse largement celui d’un emploi classique.
C’est ce contraste qui a rendu son histoire virale : comment une jeune femme sans diplôme universitaire peut-elle gagner plus qu’un cadre expérimenté ?
Comment peut-on toucher un salaire aussi élevé pour un travail que beaucoup refusent ?
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Et surtout… qu’est-ce que ce métier que tout le monde fuit, mais qui paye jusqu’à 9 000 € par mois ? La réponse ci-dessous. 👇🏼
Le métier que presque personne n’ose faire… mais qui paie une fortune (2/3)
Le “mystère” autour du salaire d’Ashlea s’explique dès qu’on découvre son métier : elle est conductrice de camion minier, appelée dump truck operator. Un job extrême, rare, physique, et pourtant très recherché par les entreprises australiennes.
Son rôle ? Transporter des tonnes de minerais essentiels à l’économie mondiale :
– minerai de fer,
– charbon,
– lithium (très demandé pour les batteries),
– nickel,
– parfois même cuivre ou bauxite, selon les sites.
Les sites où elle travaille se trouvent principalement dans le Pilbara, une zone isolée en Australie réputée pour ses immenses mines de fer et de lithium, opérées par les géants du secteur (Rio Tinto, BHP, Fortescue).
Là-bas, chaque camion transporte entre 150 et 240 tonnes de roche, un travail essentiel pour maintenir la production.
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Les conditions de travail pour gagner 9000€ par mois (3/3)
Mais les mines du Pilbara ou du Queensland sont aussi parmi les environnements les plus difficiles au monde : chaleur pouvant dépasser 45°C, poussière constante, bruit intense, machines gigantesques, risques industriels élevés, sites isolés au milieu du désert.
C’est précisément cette combinaison — isolement + pénibilité + horaires extrêmes — qui explique des salaires aussi élevés.
Selon plusieurs médias, les dump truck operators gagnent généralement 8 000 à 15 000 AUD par mois, soit jusqu’à plus de 9 000 € selon le cours du dollar australien, les primes et les heures de nuit.
Le rythme est tout aussi impressionnant : Ashlea travaille en système FIFO (Fly-In Fly-Out), c’est-à-dire qu’elle est transportée en avion vers un camp minier où elle enchaîne 14 jours de travail intensif, suivis de 14 jours de repos complet.
Ce cycle, répété sur l’année, représente environ 6 mois de travail effectif.
Les journées sont longues :
– 12 heures au volant d’un camion pouvant transporter plus de 200 tonnes,
– départ avant le lever du soleil,
– vigilance extrême exigée à chaque seconde.
Un métier d’endurance mentale autant que physique.
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Pas étonnant que si peu de gens acceptent de le faire.
Mais pour ceux qui tiennent le coup, l’équation est simple : un emploi très pénible, mais une rémunération exceptionnelle — sans nécessiter de diplôme universitaire.