Cet homme qui a visité tous les pays du monde révèle l’endroit qui lui a fait le plus peur

Cet homme qui a visité tous les pays du monde révèle l’endroit qui lui a fait le plus peur

Imaginez parcourir tous les pays du monde, du paradis turquoise des Maldives aux zones les plus instables du globe. 🌍

C’est exactement ce qu’a fait Drew Binsky, un aventurier américain passionné d’exploration. Pendant plus de dix ans, il a traversé des régions marquées par la guerre, les jungles, les déserts, les régimes autoritaires et même des territoires classés « à haut risque sécuritaire » par les services d’assurance voyage internationale.

Mais parmi les 197 pays qu’il a découverts, un seul l’a véritablement terrifié. Un lieu où la notion de danger n’est plus théorique, mais physique.
Où la peur ne se lit pas : elle se ressent.
Où chaque sortie exige une escorte armée, des vérifications dignes des plus grands protocoles de sécurité internationale et une préparation comparable à celle recommandée par les experts en risques géopolitiques.

Et quand un homme qui a tout vu vous dit : « J’ai eu peur pour ma vie », on tend l’oreille.

Qui est Drew Binsky ? (1/3)

À seulement 33 ans, Drew Binsky est devenu une véritable légende du voyage et du documentaire. Originaire des États-Unis, il fait partie de la poignée d’humains ayant visité les 197 pays reconnus à travers la planète — un exploit qui lui vaut une audience colossale sur YouTube et Instagram.

Créateur de contenu suivi par des millions de personnes, il publie depuis plus d’une décennie des vidéos cumulant plus d’un milliard de vues. Il y raconte ses rencontres, ses chocs culturels, mais aussi les réalités du monde : pauvreté, instabilité, coûts du voyage sécurisé, accès à la couverture santé internationale, dangers liés au terrorisme ou encore limites de la protection personnelle à l’étranger.

Son objectif ?
Montrer que chaque pays possède une beauté cachée, même ceux que les médias associent uniquement aux conflits.

Mais sa quête du globe parfait a aussi un prix : celui de la peur, celle qui surgit dans les zones classées « rouges » par les experts en sécurité mondiale.

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Un jour pourtant, il a posé le pied dans un pays où, pour la première fois, il s’est demandé s’il rentrerait vivant. ⤵️

Le lieu le plus effrayant qu’il ait vu : la Somalie (2/3)

Sur les 197 pays visités, un seul a glacé le sang de Drew Binsky : Mogadiscio, capitale de la Somalie, région classée parmi les plus dangereuses au monde par les agences de sécurité internationale et les compagnies d’assurance voyage premium. 🇸🇴

Dès son arrivée, le ton est donné. Chaque déplacement nécessite une escorte militaire composée de quatre soldats armés, gilets pare-balles, véhicules blindés.

Son hôtel ? Une forteresse :

  • murs anti-explosion
  • checkpoints
  • contrôle des bagages
  • détecteurs de bombes
  • sas de sécurité

« C’est l’endroit le plus effrayant que j’ai visité. Il n’y a ni règles, ni lois. Chaque fois que vous sortez, vous risquez votre vie. »

Dans les rues, les regards sont méfiants. Les voies parfois désertes, les voitures inspectées. Les risques d’attentats, d’enlèvements ou d’attaques ciblées font partie du quotidien des habitants.

Pourtant, derrière cette tension permanente, Drew remarque aussi les sourires timides, les enfants curieux, la dignité bouleversante de ceux qui vivent là malgré tout.
Un contraste qui l’a profondément marqué.

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En quittant Mogadiscio, il avoue qu’il n’a jamais été aussi heureux de revoir un aéroport. Mais cette expérience l’a poussé à réfléchir autrement aux notions de sécurité personnelle, de risques géopolitiques et même d’assurance internationale.

Pourquoi Mogadiscio l’a autant marqué ? (3/3)

Pour Drew Binsky, la réponse est claire : Mogadiscio est la frontière ultime entre aventure et danger réel.

La capitale somalienne reste l’une des villes les plus instables du monde, en raison :

  • du groupe armé Al-Shabaab,
  • des attaques régulières,
  • des enlèvements ciblés,
  • de l’absence de sécurité publique fiable,
  • d’une surveillance permanente,
  • et de risques élevés souvent cités dans les rapports d’analyse géopolitique et de sécurité internationale.

« Vous n’êtes jamais seul. Même pour aller acheter de l’eau, il faut un convoi. »

Son hôtel ressemblait plus à un bunker qu’à un hébergement de voyage. Les employés étaient formés comme ceux des structures sous protocole anti-terroriste.

Quelques semaines après son passage, un hôtel voisin a été détruit dans une explosion.
C’est à ce moment-là qu’il a réalisé que son séjour relevait presque de la survie.

« Là-bas, la peur n’est pas une émotion. C’est un mode de vie. »

Mais au-delà de la peur, il retient surtout la force morale et la résilience des habitants.
Une population qui survit dans un contexte où les notions de sécurité personnelle, de protection des civils et même de liberté de circulation sont constamment menacées.

Pour Drew, raconter cette expérience n’a jamais eu pour but d’effrayer les voyageurs, mais de rappeler la réalité du monde :
certains pays demandent une préparation extrême, un respect absolu et une compréhension profonde des risques géopolitiques et humains.

« Voyager, ce n’est pas seulement voir le monde. C’est comprendre ce que d’autres endurent pour y vivre. »

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